Par un soir glacial de février 1885 arrive à Montréal un voyageur gravement malade, porteur du virus qui déclenchera la pire épidémie que le Québec ait jamais connue: celle de la variole. En quelques mois, la maladie, foudroyante, se propage. Un climat d'exaltation règne alors sur Montréal. (...) L'isolation et le placardage des maisons ne suffisent plus à enrayer le fléau. Le Bureau de santé est à bout de souffle. (...) Sarah Johnson, elle, rêve de sauver des vies en devenant médecin.